• UGTG pòté métòd an linité 26 Maws 2015 Lapwent

    An mouvman a 26 Maws 2015 Lapwent, Kanmarad a jounal REBELLE di dé mo pou sitiasyon a jénès Gwadloup

    Sendika F.O méné fòs a'y 26 Maws 2015 Lapwent

    Dékatman a SPEG 26 Maws 2015 Lapwent

    "SOLIDAIRE" lyanné épi tout sendika 26 Maws 2015!

     

    Dé mo a SUD PTT an larèl a Sanblé a 26 Maws 2015

     

     

           

    CGTG doubout pou Dinyité, Lapwent 26 Maws 2015

    Pawòl a CFDT an Mouvman a 26 Maws 2015 Lapwent

     
     

    FSU té an lyann Lapwent 26 Maws 2015

     

    Sendika UNSA bay lavwa 26 Maws 2015 Lapwent

     


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  • Au Brésil un militant du Mouvement des Travailleurs Ruraux Sans Terre parmi des milliers à manifester leur solidarité avec la révolution bolivarienne face au décret Obama

    Au Brésil un militant du Mouvement des Travailleurs Ruraux Sans Terre parmi des milliers à manifester leur solidarité.

    Rarement un président états-unien a fait une telle unanimité contre lui. Après l’UNASUR soit les douze gouvernements sud-américains, la CELAC qui regroupe les 33 états d’Amérique Latine et des Caraïbes, l’ALBA, PetroCaribe, les 134 pays membres du G-77 + la Chine… bref, tout le sud de la planète a rejeté le décret Obama parce qu’”il viole le droit international, la souveraineté et l’indépendance politique du Venezuela”.

    En Équateur, le président Correa s'est joint á la campagne

    En Équateur, le président Correa s’est joint à la campagne

    Signataires de l'appel au Nicaragua

    Signataires de l’appel au Nicaragua

    Partout dans le monde, des mouvements sociaux soutiennent cet appel qui, au Venezuela, a déjà recueilli 5 millions de signatures. On peut le signer ici : http://bit.ly/1OyOoNz

    Parallèlement à cette mobilisation nationale, il semble que le travail de fond entrepris par le gouvernement Maduro pour contrer la guerre économique commence à porter ses fruits. Une étude de la firme privée Hinterlaces (réalisée du 14 au 18 mars sur base de 1200 interviews dans tout le pays) et portant sur le moral de la population montre que 65 % se disent “optimistes”, soit quatre points de plus qu’en janvier 2015. 34 % se disent “pessimistes” contre 38% en janvier.

    On fêtait le 24 mars le 161ème anniversaire de l’abolition de l’esclavage décidée par le président José Gregorio Monagas dans la foulée des décrets de Simon Bolivar. Une politique qui valut à ce dernier d’être traité par les journaux des grands planteurs esclavagistes du sud des États-Unis et des oligarchies latino-américaines de “César assoiffé de pouvoir”. Aujourd’hui, c’est en organisant une “marche des mille tambours” que le mouvement afrodescendant a exprimé son rejet des campagnes médiatiques et du décret du Président Obama déclarant le Venezuela “menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité et la politique extérieure des États-Unis”. David Abello, du Conseil pour le Développement de la Communauté Afrodescendante, a déclaré: “En cette heure de l’Histoire, alors que nous sommes libres, nous ne permettrons pas qu’une quelconque ingérence cherche à nous recoloniser”.

    img_57731427230308-632x421 img_59851427230304-632x421 img_56071427230305-632x421 img_58011427230303-632x421 img_52671427211539-632x421 img_58251427230303-632x421

    img_52841427211539-533x800Avec CiudadCCS et AVN / Photos: AVN (Juan Carlos La Cruz) http://albaciudad.org/wp/index.php/2015/03/con-cientos-de-tambores-el-pueblo-afrodescendiente-rechazo-la-injerencia-fotos/

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  • Emisyon "Lavi di nou Vwazen" di 29/03/2015

    CUBA

    Raúl Castro reçoit le ministre russe des Affaires étrangères

     

    Emisyon "Lavi di nou Vwazen" di 29/03/2015

    MEXICO

    Augmentation des agressions contre les journalistes

     

    Emisyon "Lavi di nou Vwazen" di 29/03/2015

    COLUMBIA

    L’ONU dévoile son rapport sur la sécurité et le respect des droits de l’homme

     

    Emisyon "Lavi di nou Vwazen" di 29/03/2015

    ECUADOR

    L’Équateur accueille une réunion du Programme de Coopération 2014-2020 Union Européenne-Amérique Latine

    L’Équateur fait procéder à un audit du pays

     

    Emisyon "Lavi di nou Vwazen" di 29/03/2015

    PERU

    Un million de personnes ont échappé à la pauvreté entre 2011 et 2013

     

    Emisyon "Lavi di nou Vwazen" di 29/03/2015

    ARGENTINA

    Un refuge nazi en Argentine? Des recherches ont été entamées

     


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  • http://www.cases-rebelles.org

    En guise de petite introduction à cette présentation des Panthers de Nouvelle-Zélande on voudrait faire une énorme dédicace à d’autres sœurs et frères du Pacifique, les polynesienNEs et mélanésienNEs qui se sont inlassablement dressés contre l’impérialisme français. Ils sont et restent pour nous une source d’inspiration et d’admiration : tout notre amour et notre gratitude !

     Les Polynesian Panthers sont nées à Auckland, Nouvelle-Zélande, dans le quartier de Ponsonby en 1971. Bien entendu l’une de leurs inspirations majeures est le Black Panther Party né dans cet autre Oakland aux Etats-Unis. C’est à travers notamment des livres comme « À l’affût » de Bobby Seale que les Polynesian Panthers se sont découverts des affinités avec les Black Panthers. Mais ils héritent également de tous les mouvements radicaux des années 60-70, comme l’American Indian Movement, le mouvement contre la guerre du Vietnam ; ainsi que les combats maoris. À l’origine des Polynesians Panthers il y a surtout ceux qu’on appelle des Pacific Islanders : originaire de Samoa, Tonga, Cook, même si des Maoris intègreront aussi le groupe.

    Sont appelés Pacific Islanders les populations polynésiennes originaires des iles autour de la Nouvelle-Zélande. Le terme est ambigu parce que techniquement les Maoris sont également des Pacific Islanders, mais ils ne sont traditionnellement pas compris dans cette appellation. Si les unEs et les autres subissent le même type de racisme général et institutionnalisé, les Maoris sont chez eux en Nouvelle-Zélande et ne sont donc pas soumis au harcèlement lié à la migration que les colons blancs imposent au Pacific Islanders.

    CertainEs parmi les initiateurs des Panthers sont des étudiantEs et il y a aussi des membres de gangs néo-zélandais (Black Panthers, Niggs) ;

     c’est le cas d’Ilolahia un ex-Niggs qui sera le  premier président des Panthers et le restera pendant 5 ans. TouTEs viennent de classe populaire. Il y a au départ une majorité d’hommes mais Etta Gillon, sœur de Fred Schmidt, est présente à la réunion de création, et rapidement les femmes auront une présence conséquente dans le mouvement.
    Les luttes que le Polynesian Panthers Movement, converti ensuite en parti, mènera sont multiples : contre le racisme de la société et dans le système éducatif, contre la prison, le harcèlement policier, l’absence de perspectives socio-professionnelles, la répression migratoire, les essais nucléaires de la France en Polynésie, la guerre du Vietnam, l’Apartheid, etc. Les Panthers seront aussi en permanence connectés aux revendications et combats indigènes maoris.
    À son maximum le parti comptera 500 membres.

    Il était une fois Ponsonby
    En Nouvelle–Zélande jusqu’à la fin de la 2ème guerre mondiale c’est une immigration blanche, britannique, qui a été encouragée. Mais dans les années 50, le pays en plein développement industriel a besoin de travailleurs. On va aller les chercher dans les îles du Pacifique, Cook, Niue et Tokelau où les habitants sont administrativement citoyenNEs néo-zelandaisES. La population de Pacific Islanders va passer de 3600 en 1951 à presque 94 000 en 1981.

    Les migrantEs qui arrivent dans les années 50 à Auckland vont s’installer dans les quartiers abordables financièrement : Newton, Grey Lynn et aussi Ponsonby. C’est dans ce quartier à l’Ouest d’Auckland à 2 kilomètres du centre ville que le Polynesian Panther Party verra le jour.
    La particularité des jeunes qui formeront le PPP c’est qu’ils sont en général la première génération à naître en Nouvelle-Zélande où ils y ont grandi.

    Dans les années 70, avec la crise économique, la situation va largement se dégrader pour les Pacific Islanders. Ils sont des boucs émissaires idéaux. On les accuse de prendre le travail des « vrais » néo-zélandais et d’overstaying, c’est à dire de séjourner sur l’ile plus que ne leur permet leurs papiers .

    Les Samoans et Tonguiens dont l’overstaying avait été toléré tant que le marché du travail avait besoin de flexibilité n’étaient tout à coup plus bienvenus parce que le marché se tendait et que le sentiment anti-immigration montait. Leur visibilité en faisait des boucs émissaires pour les politiciens qui leur reprochaient de surcharger les services sociaux.1

    Le harcèlement policier qui a toujours été présent s’intensifie ; dans le même élan de racisme généralisé, les médias construisent une image d’individus violents et alcooliques.

    C’était courant, (…)  à chaque infraction signalée , majeure ou mineure , dans le voisinage la police «patrouillait» la zone et arrêtait chaque garçon polynésien ado, et l’emmenait au poste de police pour « interrogatoire ». C’est cette atmosphère qui a mené les  Panthers à prendre position.2

    Avant les Polynesians Panthers beaucoup de jeunes avaient rejoint des gangs dont les Niggs et les Blacks Panthers. CertainEs avaient été impliquéEs dans des mouvements de revendications maoris et y avaient acquis des stratégies et des compétences militantes, réinvesties plus tard.

    Le mouvement des Polynesian Panthers en actions
    C’est donc dans ce contexte, que le 16 juin 1971, à Ponsonby naît le Polynesian Panthers Movement. À cette époque, beaucoup de jeunes ne voient pas beaucoup d’autres options que de faire profil bas ou joindre un gang pour tenir au quotidien : les Polynesians Panthers vont être la solution alternative. Conçu comme un mouvement, le PPM devient un parti politique en novembre 1972 sans que cela ne change ses orientations fondamentales.

    Les actions des Polynesians Panthers pendant 10 ans vont être essentiellement les suivantes :

    Au niveau du harcèlement et violence policière
    L’une des actions premières du groupe va se faire à contre le harcèlement policier. Ils créent des PIG patrols – Police Investigation Group – pour suivre des voitures de policiers et leur mettre la pression. Ils feront des brochures d’aide légale pour faire face à la police en cas d’arrestation, de perquisition etc. Ils se doteront également d’avocats.

    Contre la prison
    Des visites aux prisonniers, avec le transport collectif, sont organisées tous les samedis. Le groupe se procure également les noms des prisonniers polynésiens qui ont peu de visites pour aller les soutenir. Par ailleurs, les Panthers  se rendent aussi dans les tribunaux pour offrir une aide légale aux personnes accusées.

    La répression migratoire
    Au milieu des années 70 les raids à l’aube sont un des outils de la politique migratoire répressive. À 5 heures du matin, des policiers débarquent dans des quartiers et somment les habitants de présenter leurs papiers. Ces raids s’appuient sur les discours démagogiques sur l’immigration. En réponse à cela les Panthers vont débarquer en masse chez des politiciens à 3 heures du matin munis des mégaphones et des lampes torches. En quelques semaines, face à l’action des Panthers, le gouvernement renonce aux raids a l’aube.

    Les conditions de logement
    Les Pacific Islanders sont souvent logéEs dans de très mauvaises conditions et confrontéEs à des propriétaires sans scrupules. La TAB  (Tenants Aid Brigade) luttait contre les proprios, les expulsions et les conditions de logement insalubres. Les Panthers se mobilisent aussi  pour apporter  leur aide aux sans-abris.

    Éducation
    Pour combattre l’échec scolaire les Panthers mettent en place deux centres d’aide au devoirs.

    Justice alimentaire.
    Les Panthers s’associeront au groupe People’s Union pour mettre en place des banques alimentaires.

    Conditions de  travail
    Les Panthers vont organiser des grèves dans des usines où les conditions de travail sont particulièrement mauvaises.

    Luttes maories
    Les Polynesian Panthers ont toujours soutenu les mouvements et initiatives maoris, notamment à travers de fortes connexions avec le groupe Ngā Tamatoa. À cette époque les groupes maoris luttent pour la langue, la terre, leurs droits en tant que peuple indigène mais ils se retrouvent régulièrement  avec les Panthers pour former un front polynésien. En 1975, le Parti des Panthers soutient et participe à la Maori Land March, du Nord jusqu’au parlement. Des Polynesian Panthers seront aussi investiEs dans le combat de Bastion Point, une occupation de 507 jours en 1977-1978, durant laquelle la tribu Ngati Whatua se battit pour récupérer des terres ancestrales qui allaient être vendues au plus offrant.

    Combats internationaux
    Les Panthers vont soutenir des mouvements de protestation internationaux contre la guerre du Vietnam par exemple, ou contre les essais nucléaires de la France en Polynésie. En 1981, les Panthers s’activeront avec d’autres groupes pour perturber la tournée des Springbok d’Afrique Du Sud pour protester contre l’Apartheid et le racisme en Nouvelle-Zélande. Ce mouvement sera la dernière grande action pour les Polynesians Panthers. Elle se fera au sein du Patu Squad. Cette mobilisation historique va entrainer des confrontations importantes et violentes avec la police et de nombreuses arrestations. Mais ce mouvement de protestation dont les échos parviendront jusqu’à Nelson Mandela dans sa cellule restent dans les mémoires comme un moment exceptionnel d’unité dans la lutte  :

    Je pense que c’était probablement la première fois aussi que des Pacifics Islanders – en dehors de groupes comme Naga Tamatoa ou les Panthers – étaient investis dans des manifs et c’est le truc qui a été important je pense pour la communauté des Pacifi Islanders, c’était la première fois qu’ils étaient investis dans quelque chose d’aussi confrontationnel et ça a aussi unifié pas mal d’entre nous maoris et Pacifi Islanders.3

    Une conclusion ?

    Les Polynesian Panthers n’ont jamais officiellement cessé d’exister. Nombre de ces membres encore en vie considèrent que les luttes menées par les Panthers restent encore pertinentes et que le racisme systémique est loin d ‘avoir disparu en Nouvelle-Zélande. Au début des années 2000, à la faveur du réexamen de cette histoire à travers des projections, des rencontres, les Polynesian Panthers se sont réunis. Aujourd’hui le mouvement semble être réactivé et de nouvelles sections se créent.

    Depuis des années les Panthers entretiennent la connexion avec Oakland et le Black Panther Party notamment avec  Emory Douglas qui s’y rend régulièrement pour des expositions, discussions, ateliers, etc. C’est lui qui nous a transmis cette histoire de lutte polynésienne ; nous l’en remercions.

    *   *   *

    Pour en savoir plus sur les Polynesian Panthers :

    • Polynesian Panthers, The Crucible Years 1971-74, un livre de Melani Anae, Lautofa Iuli, Leilani Burgoyne chez Reed Publishing (2006)
    • Un documentaire réalisé Nevak ‘Illohahia la nièce de Will ‘Illolahia co-fondateur des PP : https://www.youtube.com/watch?v=AtEKpTJXPmQ
    • Sur le Patu Squad et le mouvement de protestation contre la tournée des Springbok, il existe un documentaire de Merata Mita nommé Patu!.

    Cases Rebelles (Mars 2015)

    1. http://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=10667079 []
    2. http://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=196354 []
    3. Will ‘Illolahi, extrait de « Protest », Panui Pasifika, Maori television, 2006 []

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    Présentation détaillée du projet

    Objectif 6 000 euros !

     

    Vos dons permettront de couvrir une partie des dépenses liées à cet événement, et en particulier à offrir  aux élèves participants un bon d'une valeur de 10 euros, permettant de choisir un livre sur l'un des nombreux stands présents sur le PÔLÔLÔK.

    Par votre geste, vous soutenez donc à la fois nos élèves et les acteurs du livre en Guyane.

     

    A l'occasion du 20ème anniversaire de l'Association guyanaise d'édition (A.G.E), auront lieu trois jours de rencontres autour du livre guyanais, avec une large place faite aux scolaires. Ces rencontres se dérouleront sur le campus universitaire de Troubiran à Cayenne, du 23 au 25 avril 2015. Au programme : des échanges avec des écrivains, des ateliers de slam et d'écriture, des stands, des représentations théâtrales, des table-rondes..

     

     

     

     

    Quand les élèves réinventent leur quotidien...

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    Et le vendredi 24, ne manquez pas la cérémonie de remise des prix du concours d'écriture LA GUYANE AU QUOTIDIEN : plusieurs centaines d'élèves de lycée professionnel de toute la Guyane, et une école primaire de Cayenne, ont travaillé dur avec leurs professeurs sur ce thème pour libérer leur imagination et présenter un travail abouti.

     

    Loin d'amazon.com, au coeur de l'Amazonie...

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    Pôlôlôk est un mot créole d’origine amérindienne qui désigne un tourbillon, une vague sur un fleuve. C’est une onomatopée qui reproduit le claquement des flots contre le canot ou sur les rives. Au Brésil, on nomme pororoca le mascaret, la grande vague qui remonte l’embouchure de l’Amazone à contre-courant chaque année, au moment des équinoxes.

     

    Penser à contre-courant / Chimen nèg'maron

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    Du littoral vers le pays profond, à contre-courant des grands fleuves, c'est le chemin tracé par les Nèg maron que nous voulons retrouver, puisant dans notre patrimoine culturel et ancestral des repères pour la société guyanaise d'aujourd'hui.

     

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    À quoi servira la collecte ?

     

    3 000 euros

    Distribuer à 300 élèves de l'Académie de Guyane un bon de 10 euros pour acheter des livres lors du Pôlôlôk

    1 000 euros

    Lots pour les lauréats du concours

    1 000 euros

    Communication : infographiste, affiches, flyers

    600 euros

    Lots pour les donateurs du financement participatif

    400 euros

    Frais plate-forme de financement participatif


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