• COMMUNIQUE DU F.U.L.A.C. EN SOUTIEN A LA REPUBLIQUE BOLIVARIENNE DU VENEZUELA

     

    Rappel des faits

    Communiqué des Forces Armées Nationales Bolivariennes

     sur les déclarations du général John Kelly

     

    29 octobre 2015.

    "C'est avec une profonde indignation que nous avons écouté les récents signalements du général John Kelly, chef du Commando Sud des Etats-Unis qui, sur la chaîne d'information CNN en espagnol, a fait une nouvelle véritable démonstration d'ingérence impérialiste en exprimant des opinions fallacieuses sur la situation politique, économique et sociale de notre bien-aimée nation.

    Il faut souligner que cette sorte de déclarations reviennent régulièrement et systématiquement dans le cadre d'un plan prémédité en particulier depuis le décret par lequel le président Barack Obama a signalé que le Venezuela représentait une "menace extraordinaire et inhabituelle" pour les intérêts de la sécurité nationale des Etats-Unis.

    Face à de si malheureux commentaires, la FANB fait savoir à toutes et à tous les Vénézuéliens ce qui suit: Le général John Kelly, le 22 octobre dernier, a signalé que notre peuple souffre terriblement et que l'économie vénézuélienne est littéralement prête à imploser.

    De telles affirmations font jaillir de notre mémoire, comme un rayon fulgurant, les paroles prophétiques et sages du Libérateur Simón Bolívar qui, le 5 août 1829 écrivait depuis Guayaquil: "Les Etats-Unis d'Amérique du Nord semblent destinés par la providence à remplir l'Amérique de misère au nom de la liberté".

    L'empire nord-américain, par le subterfuge de la défense des Droits de l'Homme et de la liberté, prétend une fois de plus créer les conditions nécessaires pour intervenir dans notre pays en utilisant comme prétexte une possible cris humanitaire produite par le soi-disant effondrement de l'économie.

    A ce sujet, il faut rappeler qu'il est bien connu historiquement que cette nation planifie et exécute ses opérations militaires en brandissant toujours des raisons de caractère humanitaire derrière lesquelles ils cachent leurs obscures intentions de domination. De même, on sait qu'ils contrôlent subrepticement à travers des groupes de pouvoir, différents organismes internationaux pour justifier leurs interventions.

    Il conviendrait d'orienter les opérations humanitaires auxquelles se réfère John Kelly dans leur sens le plus légitime vers les pays dévastés par les guerres de l'empire favorisées par eux-mêmes et qui ont fait des milliers de déplacés et de réfugiés qui aujourd'hui errent dans toute l'Europe.

    D'autre part, le général John Kelly reconnaît que la racine du problème du trafic de drogues dans les Caraïbes et en Amérique Centrale est la consommation croissante aux Etats-Unis. Cependant, il oublie de mentionner l'énorme effort que vient de faire le Gouvernement Bolivarien pour combattre ce fléau mondial.

    En particulier après le fin de la relation avec la DEA sur instructions de notre commandant suprême Hugo Chávez, on a obtenu des résultats quantitativement et qualitativement supérieurs en arrivant à neutraliser plus de 100 avions illégaux au service des cartels de la drogue sur le territoire national, en rendant inutilisables plus de 600 pistes clandestines, en capturant et en extradant des chefs notoires du trafic de drogues et en saisissant d'énormes quantités de stupéfiants et nous avons optimalisé la lutte contre cet abominable délit.

    Le tionales Bolivarienneschef du Commando Sud se réfère aussi à la corruption comme à un problème dans notre pays, oubliant ou ignorant que la Révolution Bolivarienne et le Socialisme du XXI° siècle sont des processus basés sur les valeurs de justice, d'égalité, d'humanisme et en particulier de total respect des Droits de l'Homme, un processus qui a mené à bien une lutte titanesque pour démanteler et éradiquer les vieux schémas d'exploitation de l'homme et de corruption qui caractérisent les systèmes capitalistes néfastes en obtenant d'importantes victoires dans la lutte contre la pauvreté, l'exclusion et les inégalités.

    La nation vénézuélienne, étant donné son système démocratique, participatif et protagoniste, se prépare pour des élections législatives le 6 décembre, des élections par lesquelles le peuple vénézuélien s'exprimera librement sans qu'aucun pouvoir puisse faire obstacle à leur déroulement normal.

    La FANB, dans le strict respect de la Constitution, fidèle à l'exemple historique du Libérateur de l'Amérique, à ses plus pures traditions libertaires et à l'héritage victorieux de notre commandant suprême Hugo Chávez, réaffirme sa vocation pacifiste et du respect du principe de non intervention et d'autodétermination des peuples.

    Condamne catégoriquement cette sorte de déclarations et de signalements irrespectueux, abominables, sans le moindre fondement et reste ferme, sur le pied de guerre, totalement unie sous le commandement indiscutable, juste, de notre commandant en chef Nicolás Maduro Moros pour continuer à se battre sans repos avec le peuple contre la guerre économique, le para-militarisme, la contrebande, la trafic de drogues et d'autres fléaux dont notre pays est la proie, ceci étant orchestré par des groupes de l'oligarchie soutenus par des agents étrangers qui, à cause de leurs intérêts macabres attaquent de façon permanente la paix, la stabilité, le développement, la sécurité et l'avenir du peuple du Venezuela.

    Nous ne nous reposerons pas tant que nous n'aurons pas conquis les intérêts lesplus sacrés de la nation et renforcé la patrie libre, souveraine et indépendante que nous ont légué Bolívar et Chávez et obtenu a paix comme notre plus grande victoire.

    Chávez vit! Indépendance et patrie socialiste, nous vivrons et nous vaincrons".

    Source en espagnol:

     

    http://www.avn.info.ve/contenido/alto-mando-fanb-expresó-rechazo-nuevas-declaraciones-injerencistas-imperiales


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  • APPEL A LA SOLIDARITE AVEC LA CGTG

    Vidéo sur l'injustice qui frappe la CGTG condamnée pour diffamation à plus de 53000€ de dommages et intérêts pour avoir écrit dans un tract que la famille Despointes a bâti toute sa fortune sur l'esclavage, la traite négrière et l'esclavage salarié.

    Partager massivement ce lien avec tous vos contacts afin d’informer la population de Guadeloupe et plus largement du monde entier afin de dénoncer cette nouvelle injustice.

     

    Le bureau syndical de la FE-CGTG à la CDE

     


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  • HENRI CURIEL
     
     

     

     

    Rédaction du HuffPost Algérie

    La famille du grand ami de l'Algérie, l'anticolonialiste Henri Curiel, tué le 4 mai 1978 à Paris, demande la réouverture de l’enquête judiciaire sur son assassinat resté inexpliqué, rapporte aujourd'hui des médias français.

    Une plainte avec constitution de partie civile vient d’être déposée auprès du doyen des juges d’instruction du Tribunal de grande instance de Paris par l’avocat des proches d’Henri Curiel, Me William Bourdon.

    "Nous avons déposé plainte avec constitution de partie civile vendredi", a indiqué l'avocat de la famille, Me Bourdon. "Il est difficile d'imaginer que de nouvelles investigations ne soient pas entreprises après les révélations du livre "Le roman vrai d'un fasciste français", a-t-il ajouté.

    Dans cet ouvrage, paru en mai, René Resciniti de Says, membre de l'Action française décédé en 2012, revendique l'assassinat du militant d'extrême gauche Pierre Goldman et celui d'Henri Curiel. Selon ce témoignage posthume, recueilli par le journaliste Christian Rol, René Resciniti de Says aurait agi sur ordre de Pierre Debizet, patron du SAC, le service d'ordre du parti gaulliste. "Ce témoignage déterminant rend indispensable la réouverture de l'enquête", a souligné Me Bourdon. "Il y a des personnes qui sont encore vivantes dans l'entourage de celui qui s'auto-désigne comme l'assassin", a-t-il relevé.

    Le 4 mai 1978, 14 heures : deux hommes armés abattent Henri Curiel à la sortie de son domicile parisien, 4 rue Rollin. Un assassinat revendiqué, à l’époque, par un mystérieux "groupe Delta". Ses tueurs n’ont jamais été retrouvés.

    En juillet 1992, l’enquête judiciaire se conclut par un non-lieu. Au début des années 2000, de nouveaux témoins sont entendus. Mais l’affaire est, à nouveau, classée sans suite, le 29 septembre 2009. Faute d’élément nouveau, le dossier sera éteint judiciairement dans dix ans, en septembre 2019.

    Or, pour la famille d’Henri Curiel, cet élément nouveau existe : il s’agit du témoignage posthume d’un ancien mercenaire, proche du SAC (Service d’action civique), le service d’ordre du parti gaulliste engagé dans une dérive sanglante dans les années 1970.

    Né en 1914 au Caire, Henri Curiel est le fondateur du mouvement communiste en Egypte, il est exilé par le roi Farouk en 1950.

    Il s'installe alors en France et soutient la guerre de libération et le FLN pendant la guerre d'Algérie. Il rejoint le réseau fondé par Francis Jeanson, "Les porteurs de valise". Arrêté en octobre 1960, il passe dix-huit mois à Fresnes.
    Henri Curiel est libéré après la signature des accords d’Evian. Il échappe miraculeusement à une expulsion du sol français.

    Il soutient les mouvements de libération du tiers-monde (fondateur du réseau "Solidarité"), partisan d’une solution négociée entre Israël et les palestiniens, Henri Curiel se trouve dans le collimateur de plusieurs services secrets qui le considèrent comme le chef "des réseaux d’aides aux terroristes".


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